
Maroc 2030 : Allianz Maroc explore les voies d’émergence
Dans son discours inaugural, Abderrahim Dbich, administrateur directeur général d’Allianz Maroc, a souligné l’importance des réformes profondes et des chantiers structurants initiés sur différents fronts, tout en mettant en exergue l’engagement de la compagnie à soutenir les orientations des pouvoirs publics et à accompagner les investisseurs, les entreprises et les particuliers dans leur croissance. «En tant qu’assureurs, nous avons un rôle primordial à jouer dans la construction d’un avenir prospère pour notre pays. Celui de permettre à tout notre écosystème d’avancer vers l’avenir avec davantage de sérénité», a-t-il déclaré.
Ainane Abboudi, directeur Marché Entreprise, a, lui, mis en lumière l’expertise mondiale d’Allianz Maroc et son savoir-faire local pour concevoir des solutions à forte valeur ajoutée, visant à aider les assurés à relever les défis les plus complexes et à saisir les opportunités de croissance. Il précise : «La Compagnie se prépare à accélérer son développement, à la fois pour mieux accompagner ses partenaires et ses assurés, mais aussi pour apporter sa contribution, aussi modeste soit-elle, au projet national».
Fahd Mokdad, directeur Distribution et Partenariats chez Allianz Maroc, a quant à lui souligné que le succès du secteur repose sur sa capacité à anticiper les besoins changeants du marché et à proposer des solutions au-delà des attentes.
Pour sa part, Lahcen Haddad, Keynote Speaker au niveau de cette rencontre, a rappelé les politiques et stratégies structurantes entamées par le Maroc afin d’adhérer au club des pays émergents. Il est aussi revenu sur les différents défis, notamment ceux liés à la sécurité hydrique et l’équité sociale, tout en mettant en avant une démarche vertueuse qui consiste à réussir les transitions, notamment énergétique et numérique, à faire aboutir les stratégies sectorielles, telles que ‘’Green Génération’’, ‘’Tourisme’’ et ‘’Nouvelle Stratégie industrielle’’ ou encore, à diminuer les fractures sociales et spatiales via la couverture sociale et la revue de la régionalisation. Il a tenu cependant à préciser que l’objectif d’un Maroc prospère, démocratique et ouvert ne sera possible sans la réduction des effets négatifs des risques liés au stress hydrique, à la gouvernance, à la réforme de l’éducation, à la santé et à la sécurité alimentaire et judiciaire.